Un jour,pendant le coucher du soleil,j’étais un peu fâchée,alors je me suis mise devant la fenêtre du salon pour me détendre et apprécier ce majestueux spectacle. En regardant par la fenêtre,j’ai vu le soleil mourir dans l’immensité étroite du fleuve;c’était un peu comme si j’avais tenu un instant d’éternité au creux de mon iris.Par des moments de telle beauté,le temps s’étirait et l’attente déboulait.On se sentait fort,invincible,et les espoirs les plus frivoles germaient dans notre esprit.Les oranges,les pourpres et les rosés dans une parfaite symphonie semblaient vouloir illuminer le monde une dernière fois avant la grande noirceur.Les rayons du soleil brillaient de tous feux se miroitant dans les eaux paisibles,et quand leur moment de gloire s’estompait,ils sombraient. Alors,s’installait une douce torpeur bleutée plongeant la ville dans le mystère et le secret. Tout doucement,à notre insu,les dernière lueurs disparaissaient et la lumière feutrée de la lune prenait la relève pour veiller sur la Terre.On croyait au rêve,on accusait l’imagination,mais au fond de chaque coeur,on gardait orgueilleusement un souvenir de cette brève vision. Jessica Bajine EB7 (B)
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ՄԵՆՔՄեսրոպեան Վարժարանի Աշակերտներ Արխիւ
April 2015
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